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Semaine de jeûne et Méditations en Vendée à la Tranche sur Mer

à 100M de la plage

Du lundi 1 juin au Dimanche 7 juin 2020

Vous serez logé dans un  gîte très sympa sous les pins à 100M de la plage de sable fin.

Toute la semaine je vous accompagnerai dans votre jeûne et vous proposerai des activités quotidiennes comme :

la méditation, la relaxation, l'hypnose, atelier sur l'alimentation équilibrée, randonnée sur la plage et en campagne, lecture, partages..etc

Reprise alimentaire ensemble le dimanche midi.

Vous repartirez en pleine forme avec toutes les informations nécessaires pour une bonne reprise alimentaire et pour stabiliser votre perte de poids.

Le prix de la semaine tout compris :

590€ en chambre partagée.

Adresse du gite: 75 rue de la pomme de pin 85360 La Tranche-sur-Mer

Indications et contre-indications au jeûne

 

Le jeûne est une méthode ancestrale dont les bienfaits préventifs et thérapeutiques sont aujourd’hui scientifiquement reconnus. Objectifs : reposer, détoxiquer et régénérer l’organisme. Mais sa pratique, qui nécessite de prendre quelques précautions, présente dans certains cas des contre-indications.

Au sens strict du terme, le jeûne consiste à n’absorber aucune nourriture. Il existe traditionnellement deux formes de jeûne intégral, le jeûne hydrique qui autorise à boire de l’eau, et le jeûne sec. Ce dernier s’applique dans un but thérapeutique bien précis, sur une très courte durée et sous surveillance, il est peu pratiqué. Plus récemment des versions de jeûne partiel ou jeûne modifié ont vu le jour ; ils intègrent des jus de légumes ou d’herbe de blé ou d’orge ou encore du bouillon, des jus de fruits, des tisanes sucrées au miel, etc...

 

Quels sont les bénéfices du jeûne intégral ?

Sur le plan physiologique, le jeûne intégral à l’eau ou à la tisane non sucrée permet de désintoxiquer en profondeur l’organisme. Ce nettoyage a une action préventive et curative sur de nombreuses maladies en lien avec un état de surcharge de l’organisme. Toutes les situations de surcharges ou de carences ont une incidence plus ou moins directe sur le potentiel de toutes les fonctions cellulaires et métaboliques ; à long terme, elles creusent le lit des véritables maladies et entravent l’expression optimale des phénomènes d’auto-guérison. Au niveau psychique, le jeûne apporte une grande clarté mentale, précieuse lorsqu’il y a d’importantes décisions à prendre ou pour faire un point sur sa vie. Dans de nombreuses traditions, il est pratiqué afin de purifier l’esprit, d’atteindre un état de conscience plus clairvoyant.

 

Dans quelles affections est-il particulièrement indiqué ?

Diverses études scientifiques ont démontré l’influence positive du jeûne dans de nombreuses pathologies, en particulier les maladies de peau, les maladies inflammatoires dont l’arthrite rhumatoïde, les maladies cardio-vasculaires dont l’athérosclérose, l’angine de poitrine, l’hypertension, et aussi l’asthme, les allergies, etc...

 

Permet-il de maigrir ?

Il est bien évident que lorsqu’on cesse de manger, on perd du poids. Le jeûne ne constitue cependant pas une manière efficace de maigrir à long terme s’il n’est pas accompagné d’une remise en cause des habitudes alimentaires. Bien souvent, les kilos perdus pendant la période de jeûne sont repris rapidement, du fait du chamboulement du métabolisme. Cependant jeûner peut aider à établir une autre relation à la nourriture, à devenir plus attentif aux saveurs, aux quantités, à manger plus lentement, ce qui est utile dans une démarche de perte de poids.

 

Est-ce que tout le monde peut jeûner ?

Il y a des contre-indications au jeûne. Avant d’en entreprendre un de plusieurs jours, il est recommandé de vérifier son état de santé auprès d’un médecin, particulièrement pour les personnes affectées par une maladie ou sous médication. S’il s’agit d’une première expérience, il est préférable de rejoindre un groupe supervisé par un professionnel compétent. Une personne en bonne santé peut pratiquer des jeûnes de courte durée sans danger. Le respect de certaines règles rend l’expérience plus confortable et évite en particulier de souffrir de symptômes d’élimination trop intenses ou de troubles digestifs.

 

Quelles sont les règles à observer ?

Tout d’abord prévoir une phase préparatoire qui consiste à réduire progressivement sa ration alimentaire et à supprimer peu à peu les produits d’origine animale, les excitants, etc... Durant cette étape, purger l’intestin avec par exemple du chlorure de magnésium, du jus d’aloe vera, des tisanes de plantes laxatives. Puis, durant le jeûne, se mettre au repos, idéalement, au contact de la nature dans un environnement calme, ressourçant, à l’abri des conflits, au chaud. S’adonner à des activités de détente, de relaxation, à la lecture, à une pratique artistique… Procéder régulièrement à un lavement intestinal à l’aide d’une poche spécifique. Boire des tisanes pour réchauffer le corps et l’esprit et accompagner le drainage des toxines, par exemple avec du thym, du romarin, de l’aubier de tilleul. Enfin, sortir du jeûne en revenant progressivement à une alimentation normale. Plus la durée du jeûne est longue, plus les phases de préparation et de reprise sur le plan alimentaire doivent être longues. Pour une journée de jeûne, une journée de préparation et de reprise suffit.

 

Qu’est-ce qu’un symptôme d’élimination ?

Durant le jeûne, une masse importante de toxines accumulées dans l’organisme est mise en circulation et conduite vers les organes d’élimination. Cela peut provoquer des maux de tête, des nausées, des irritations cutanées, des douleurs musculaires, des odeurs corporelles fortes : haleine, transpiration… Ces symptômes sont proportionnels au niveau de surcharges de l’organisme et ils sont généralement momentanés. S’ils viennent à durer, mieux vaut consulter.

 

Que faire si on a faim ?

Accepter la faim, sachant qu’elle sera passagère, s’occuper pour ne pas focaliser dessus. La faim est souvent ressentie les premiers jours, puis elle disparaît et fait place à un sentiment de légèreté et souvent à une certaine euphorie.

 

Quelles sont les contre-indications ?

Jeûner nécessite une certaine vitalité, or certaines maladies comme le sida et certaines formes de cancer affaiblissent l’organisme et jeûner pourrait aggraver l’état de dévitalisation. De même, les maladies affectant les organes d’élimination très sollicités par le jeûne, comme le foie et les reins, sont des contre-indications absolues au jeûne. Tout comme le diabète insulino-dépendant, la faiblesse et l’arythmie cardiaques, l’anorexie, la boulimie, la grossesse, l’allaitement… Il existe aussi des contre-indications relatives comme la maigreur, une tension artérielle basse, le 3e et 4e âge, la convalescence… Mieux vaut consulter un thérapeute avisé avant d’entreprendre un jeûne et prévoir une supervision médicale en cas de jeûne prolongé (plus d’une semaine).

 

À quelle fréquence, combien de temps jeûner ?

La fréquence et la durée du jeûne s’envisagent individuellement en fonction de l’âge, du poids, de la vitalité de la personne, de son degré d’intoxication, de son état de santé, de sa condition psychologique, etc... De manière générale, mieux vaut privilégier la régularité que la durée : un jour par mois, une semaine par an par exemple. La durée peut aussi évoluer en fonction de la façon dont est vécue l’expérience. Certaines écoles recommandent de ne cesser de jeûner que lorsque la langue est propre, l’urine claire et que la faim réapparaît, ce qui signifie que l’organisme a terminé sa détoxination et qui suppose un jeûne d’assez longue durée, déconseillé aux jeûneurs inexpérimentés. Mieux vaut commencer par des jeûnes de courte durée et, peu à peu, augmenter le nombre de jours. Certains auront beaucoup de difficultés, sur les plans physiques ou psychologiques, à jeûner totalement, même durant un seul jour, dans ce cas on peut envisager un jeûne partiel, ou une monodiète. Les monodiètes s’intègrent plus facilement dans notre vie sociale, elles sont plus douces pour le corps, mieux acceptées psychologiquement, mais les résultats en termes de désintoxination sont deux à trois fois plus longs à obtenir qu’avec un jeûne intégral ou partiel.

 

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